Analyse réflexive
1. Ma compétence avec les TIC :
C'est en cherchant des ressources interactives pour mes élèves que j’ai découvert tout le matériel disponible sur Internet comme outil pédagogique. Ayant expérimenté des sites comme Allô prof, ccdmd, pépit, le conjugueur, netprof et français animé, je souhaitais découvrir des sites destinés aux élèves pour les accompagner dans leur processus d'apprentissage. C’est donc par amour pour mes élèves et pour connaître des nouveaux sites Internet que j’ai eu le goût de m’inscrire au cours EDU 2030. J’ai toujours aimé apprendre et j’avoue que le monde des technologies m’a toujours intriguée . Malgré mon insécurité face aux technologie, j’ai décidé de faire le saut malgré tout. J’étais presque traumatisée devant ces nouvelles technologies, paradoxalement, je ne crois pas avoir autant apprécié un cours de ma vie. Je m’en voulais d’avoir boudé les TIC en constatant mon immense retard face à la technologie, oui, je partais de loin…Mais plus le cours avançait, plus je réalisais la chance que j’avais d’apprendre à créer mon propre matériel maison grâce aux logiciels exploités durant le cours. Il y a tant de ressources didactiques à notre disposition : exercices didactiques, capsules éducatives animées, jeux interactifs pédagogiques, sites d’éducation etc. J’étais comme un enfant dans un magasin de bonbons. Je percevais clairement le lien entre l’utilisation des TIC et le programme d’apprentissage. La seule hâte que j’avais, c’était d’expérimenter tout cela.
Je suis convaincue que les TIC peuvent être intégrés aux apprentissages des élèves et je compte bien leur transmettre les connaissances acquises lors de ce cours. En effet, ce cours m’a apporté des outils, des idées créatives d’utilisation des technologies en classe et m’a initiée à des sites vraiment riches et complets pouvant être très utiles. De plus, une réflexion sur l’utilisation du logiciel de traitement de texte pour composer un texte m’a amenée à vouloir l’utiliser plus souvent. En effet, ce logiciel leur permet de lancer des idées, de les réorganiser par la suite, et de construire des paragraphes au fur et à mesure qu’ils sont inspirés. Écrire au traitement de texte offre plus de latitude parce que l'espace entre deux paragraphes déjà écrits est essentiellement infini. Cela remet en question les raisons pour lesquelles on fait un plan. Une grande force du traitement de texte et la moins connue est l'outil de révision. Je ne parle pas des correcteurs intégrés ou des logiciels de correction qui s'imbriquent au logiciel de traitement de texte. Je parle de l’outil de révision permettant à l'enseignant d'intervenir sur le document de l'élève, tout en conservant les traces des modifications qu’il propose. Imaginez l'intérêt entre un prof et un élève : offrir des suggestions ou des commentaires à un élève à différents stades de la rédaction, plutôt que d'écrire directement sur sa feuille de papier. Vous insérez des commentaires, vous proposez des modifications dans son texte, il aura à les accepter ou à les rejeter éventuellement, et en utilisant le logiciel Word, vous pouvez activer l'outil de révision, et si le suivi des modifications est activé, vous verrez les traces de votre révision. Les logiciels PowerPoint et Didapages sont aussi très accrocheurs pour la présentation des travaux. Il y a également le logiciel Inspiration qui permet de faire un réseau de concepts pour représenter ses idées, et que dire du blogue de la classe pour recevoir les textes des élèves? De nombreuses aides à la correction sont également disponibles, ne pas être obligé d'ouvrir un dictionnaire papier pour trouver l'orthographe d'un mot, ce n'est pas de la paresse, c’est une nouvelle manière de travailler. Et que dire du site Bibliomanes qui fait la promotion de la lecture chez les jeunes par des bibliothécaires offrant un univers de découvertes littéraires et documentaires pour les jeunes.
2. Ma formation continue :
Dans une certaine mesure, on doit d'abord s'initier à la technologie pour pouvoir l’apprécier et pour découvrir ce qui existe. Ce cours aura donc été dans mon parcours, un « coup de coeur » face aux TIC et m’a profondément motivée à poursuivre mon cheminement TIC malgré les embûches que je rencontre. Comme l'univers des TIC est amené à prendre une place de plus en plus importante dans le monde de l'éducation, et que les TIC font désormais partie intégrante du Programme de formation de l'école québécoise, je trouve nécessaire de m’arrêter afin de prendre le temps de réfléchir aux implications de ces changements et aux possibilités offertes par l'utilisation de ses produits didactiques informatisés. Plusieurs sites éducatifs comme le Récit, Infobourg, Carrefour-Éducation, pour ne nommer que ceux-là m’aideront à me tenir à jour. Tous les blogues éducatifs seront également là pour me construire une vision éducative face aux TIC. Je crois que dans un monde en mutation rapide, l’avenir appartiendra à ceux qui sauront mettre à jour leur savoir. Ma conviction est que le système le plus performant sera celui qui forme les meilleurs autodidactes. Conclusion, quelle que soit la formation reçue, il deviendra vital de savoir mettre à jour son contenu d’une façon autodidacte.
3. Avantages et limites dans la pratique
Une vaste majorité d’enseignants s’interrogent encore sur la valeur ajoutée des nouvelles technologies de l’information pour améliorer leur pratique professionnelle ou pour faciliter l’apprentissage et le développement des compétences. Est-ce que les TIC peuvent améliorer les résultats scolaires? Je répondrai que oui, mais je pense que les TIC doivent être intégrés de manière à soutenir l’apprentissage. Beaucoup d’avantages s’y rattachent comme les exercices interactifs qui offrent une rétroaction immédiate, étant très accrocheur pour nos jeunes garçons qui aiment que ça bouge. Je crois qu’il y a des sites tellement bien faits qu’il n’y a pas un prof qui peut rivaliser du point de vue interaction. Les élèves apprennent en jouant et ne se rendent même pas compte des acquis qu’ils accumulent. Le potentiel pédagogique et didactique est très élevé, par contre faire une SAÉ avec les TIC demande une planification encore plus serrée que pour les cours magistraux. Je pense qu’il faut s’en servir lorsque l’activité d’apprentissage est améliorée. La plus grande limite que l’on rencontre est le manque de ressources humaines pour soutenir les enseignants dans une démarche d’utilisation des TIC avec les élèves.
1. Ma compétence avec les TIC :
C'est en cherchant des ressources interactives pour mes élèves que j’ai découvert tout le matériel disponible sur Internet comme outil pédagogique. Ayant expérimenté des sites comme Allô prof, ccdmd, pépit, le conjugueur, netprof et français animé, je souhaitais découvrir des sites destinés aux élèves pour les accompagner dans leur processus d'apprentissage. C’est donc par amour pour mes élèves et pour connaître des nouveaux sites Internet que j’ai eu le goût de m’inscrire au cours EDU 2030. J’ai toujours aimé apprendre et j’avoue que le monde des technologies m’a toujours intriguée . Malgré mon insécurité face aux technologie, j’ai décidé de faire le saut malgré tout. J’étais presque traumatisée devant ces nouvelles technologies, paradoxalement, je ne crois pas avoir autant apprécié un cours de ma vie. Je m’en voulais d’avoir boudé les TIC en constatant mon immense retard face à la technologie, oui, je partais de loin…Mais plus le cours avançait, plus je réalisais la chance que j’avais d’apprendre à créer mon propre matériel maison grâce aux logiciels exploités durant le cours. Il y a tant de ressources didactiques à notre disposition : exercices didactiques, capsules éducatives animées, jeux interactifs pédagogiques, sites d’éducation etc. J’étais comme un enfant dans un magasin de bonbons. Je percevais clairement le lien entre l’utilisation des TIC et le programme d’apprentissage. La seule hâte que j’avais, c’était d’expérimenter tout cela.
Je suis convaincue que les TIC peuvent être intégrés aux apprentissages des élèves et je compte bien leur transmettre les connaissances acquises lors de ce cours. En effet, ce cours m’a apporté des outils, des idées créatives d’utilisation des technologies en classe et m’a initiée à des sites vraiment riches et complets pouvant être très utiles. De plus, une réflexion sur l’utilisation du logiciel de traitement de texte pour composer un texte m’a amenée à vouloir l’utiliser plus souvent. En effet, ce logiciel leur permet de lancer des idées, de les réorganiser par la suite, et de construire des paragraphes au fur et à mesure qu’ils sont inspirés. Écrire au traitement de texte offre plus de latitude parce que l'espace entre deux paragraphes déjà écrits est essentiellement infini. Cela remet en question les raisons pour lesquelles on fait un plan. Une grande force du traitement de texte et la moins connue est l'outil de révision. Je ne parle pas des correcteurs intégrés ou des logiciels de correction qui s'imbriquent au logiciel de traitement de texte. Je parle de l’outil de révision permettant à l'enseignant d'intervenir sur le document de l'élève, tout en conservant les traces des modifications qu’il propose. Imaginez l'intérêt entre un prof et un élève : offrir des suggestions ou des commentaires à un élève à différents stades de la rédaction, plutôt que d'écrire directement sur sa feuille de papier. Vous insérez des commentaires, vous proposez des modifications dans son texte, il aura à les accepter ou à les rejeter éventuellement, et en utilisant le logiciel Word, vous pouvez activer l'outil de révision, et si le suivi des modifications est activé, vous verrez les traces de votre révision. Les logiciels PowerPoint et Didapages sont aussi très accrocheurs pour la présentation des travaux. Il y a également le logiciel Inspiration qui permet de faire un réseau de concepts pour représenter ses idées, et que dire du blogue de la classe pour recevoir les textes des élèves? De nombreuses aides à la correction sont également disponibles, ne pas être obligé d'ouvrir un dictionnaire papier pour trouver l'orthographe d'un mot, ce n'est pas de la paresse, c’est une nouvelle manière de travailler. Et que dire du site Bibliomanes qui fait la promotion de la lecture chez les jeunes par des bibliothécaires offrant un univers de découvertes littéraires et documentaires pour les jeunes.
2. Ma formation continue :
Dans une certaine mesure, on doit d'abord s'initier à la technologie pour pouvoir l’apprécier et pour découvrir ce qui existe. Ce cours aura donc été dans mon parcours, un « coup de coeur » face aux TIC et m’a profondément motivée à poursuivre mon cheminement TIC malgré les embûches que je rencontre. Comme l'univers des TIC est amené à prendre une place de plus en plus importante dans le monde de l'éducation, et que les TIC font désormais partie intégrante du Programme de formation de l'école québécoise, je trouve nécessaire de m’arrêter afin de prendre le temps de réfléchir aux implications de ces changements et aux possibilités offertes par l'utilisation de ses produits didactiques informatisés. Plusieurs sites éducatifs comme le Récit, Infobourg, Carrefour-Éducation, pour ne nommer que ceux-là m’aideront à me tenir à jour. Tous les blogues éducatifs seront également là pour me construire une vision éducative face aux TIC. Je crois que dans un monde en mutation rapide, l’avenir appartiendra à ceux qui sauront mettre à jour leur savoir. Ma conviction est que le système le plus performant sera celui qui forme les meilleurs autodidactes. Conclusion, quelle que soit la formation reçue, il deviendra vital de savoir mettre à jour son contenu d’une façon autodidacte.
3. Avantages et limites dans la pratique
Une vaste majorité d’enseignants s’interrogent encore sur la valeur ajoutée des nouvelles technologies de l’information pour améliorer leur pratique professionnelle ou pour faciliter l’apprentissage et le développement des compétences. Est-ce que les TIC peuvent améliorer les résultats scolaires? Je répondrai que oui, mais je pense que les TIC doivent être intégrés de manière à soutenir l’apprentissage. Beaucoup d’avantages s’y rattachent comme les exercices interactifs qui offrent une rétroaction immédiate, étant très accrocheur pour nos jeunes garçons qui aiment que ça bouge. Je crois qu’il y a des sites tellement bien faits qu’il n’y a pas un prof qui peut rivaliser du point de vue interaction. Les élèves apprennent en jouant et ne se rendent même pas compte des acquis qu’ils accumulent. Le potentiel pédagogique et didactique est très élevé, par contre faire une SAÉ avec les TIC demande une planification encore plus serrée que pour les cours magistraux. Je pense qu’il faut s’en servir lorsque l’activité d’apprentissage est améliorée. La plus grande limite que l’on rencontre est le manque de ressources humaines pour soutenir les enseignants dans une démarche d’utilisation des TIC avec les élèves.